Le jeune Fedor se lève de son trône, et se met à discourir tout en marchant.
- Ah, comme j'aimerais que mon père soit encore là. En vérité, cousin, je suis entouré d'ennemis... Vous qui êtes étranger à la Russlavie et à ses intrigues, je peux compter sur vous.
Dites moi, cousin, n'êtes vous point marié ? Après tout, vous portez en vous, par votre mère, l'auguste sang des Dmitrievides... C'est là une race qu'il faut perpétuer.